nom : On a souvent eu du mal à prononcer ton nom, et ce durant toute ta scolarité. Il est long. 4 syllabes. Il est complexe. Les « a » portent des accents. Il arrivait à tes professeurs d’un oublier un sur deux, ou de ne pas mettre les bons accents sur le bon « a ». Làzáridis. Et tu le portes avec une telle fierté. Le nom de ton père. Celui de toute une génération. prénom(s) : Toi, t’as le nom du dieu des Enfers. Hades. Il te va plutôt bien ce prénom. Grand barbu que tu es. Tu fais un peu mauvais garçon quand on te connaît pas. Et comme second prénom, tu portes celui de ton grand-père paternel : Nikolaos. Tu as eu la chance de le connaître, et tu te sens chanceux de porter son nom. Ton grand-père était une grande tête. Il était connu et respecté. Il avait du charisme et de la prestance. Tu l’as toujours admiré. date de naissance et âge : Tu es né sous un bel hiver doux, début décembre. Le 3. Un petit sagittaire. Il y a de cela maintenant presque 32 ans. lieu de naissance et nationalité : C’est sur l’île de Mykonos, en Grèce que tu es né. Tes parents étaient venus voir ta famille maternelle, et tu as jugé bon de sortir à l’aube du huitième mois de grossesse de ta mère. origines : Nul doute. Tu as du sang grec qui coule dans tes veines. Et tu prônes haut et fort tes origines. Tu en es plus que fier. Tu es un grec, pur et dur. Avec des origines anglaises du côté de ta mère. Il ne faut pas l’oublier.  statut social : Tu es plutôt aisé, on ne va pas se mentir. Tu gagnes bien ta vie. emploi/études : Criminologue, voilà ce que tu es, et ce que tu as toujours voulu être. Petit, tu rêvais d'être lieutenant de police. Quand tu jouais avec tes copains, à l'école, c'était toujours toi qui étais chargé de faire régner l'ordre, de retrouver parmi tes copains le coupable de l'acte, tu as toujours été attiré par ce domaine là. Et c'est en grandissant que tu as décidé de te diriger vers la criminologie. orientation sexuelle : Ces courbes voluptueuses. Ces longues chevelures soyeuses. Ces regards malicieux. Ces sourires charmeurs. Tu les aimes blondes, brunes, ou rousses. Elles te font perdre la tête. Toi, ça n’a toujours été que les femmes. Tu n’as toujours eu d’yeux que pour elles. statut matrimonial : Tu flirt, par-ci, par-là. Mais ça s’arrête là. Tu es célibataire depuis un petit moment maintenant. Tu n’avais pas le temps pour ça, pour te poser, et dépenser toute ton énergie pour entretenir une relation. T’étais pas fait pour ça.  

Avec toi, on ne sait jamais sur quel pied danser. Le mystère plane au dessus de ta tête. Tu ne parles que très rarement de toi. D'ailleurs, peu voir personne ne connaît grand chose à ton sujet. Tu n'aimes pas t'éterniser sur ton sujet. Tu gardes tout pour toi. Toi, ce que tu préfères, c'est écouter tes proches. Être là pour eux. Tu es quelqu'un de loyal et sur qui on peut compter. Tu n'es pas du genre à monter ton attachement pour quelqu'un, et encore moins le dire. Toutefois, on le sent. Parce que tu donnerais corps et âme pour tes proches. Tu es quelqu'un d'entier, et d'honnête. Si tu aimes, on le ressent, si tu n'aimes pas, c'est la même. Quand il s'agit d'attachement, tu ne laisses rien transparaître. En revanche, quand tu n'aimes pas, il n'en est pas de même. Au moins, on ne pourra pas te reprocher d'être quelqu'un d'hypocrite. Bien au contraire, si tu as quelque chose à dire, que ça blesse ou pas tu le diras. Car comme on dit, la vérité fait mal mais le mensonge détruit.
Toi, tu respires la joie de vivre. T'es amusant, déconneur, toujours prêt à faire l'imbécile. S'il connerie il y a faire, tu la feras. Parce que tu considères que la vie est bien trop courte pour ne pas en profiter, et tu l'as appris très jeune, quand tu as perdu ton petit frère alors qu'il n'avait que quelques semaines. Toi t'étais petit, mais tu t'es promis de vivre aussi pour lui. Parce que lui, il aurait surement aimé avoir cette chance de profiter de la vie. On sait que t'es le grand déconneur en soirée, celui qui met l'ambiance.
Hades, tu prends soin de toi. T'es parfois pire qu'une fille. T'es sportif, s'en est presque devenue une addiction. Tu as besoin de ta dose de sport a la semaine. Il est vrai que ton travail te prends beaucoup de temps et d'énergie, mais tu n'as jamais été capable d'exclure le sport de ta vie. D'ailleurs, tu es dans une asso de boxe, où tu y donnes des cours, tous les mercredis soirs.
T'es un petit bagarreur toi, un brin sanguin par moment. Tu essaies pourtant de te retenir, plus jeune ça t'as valu des exclusions parfois, mais t'es comme ça. Cependant, tu fais un travail sur toi, tu essaies de tout mettre en place pour canaliser cette impulsivité maladive. Tu la dois à ton père. Et même si tu es très admiratif de cet homme, il n'en demeure pas moins que si tu avais pu éviter d'hériter de ce genre de trait de caractère, tu t'en serais bien passé. Mais bon, c'est comme ça. Personne n'est parfait, c'est bien connu. Et puis, si on reste dans les défauts, on pourrait aussi dire que tu es un mec plutôt tête en l'air. Alors tu retiens beaucoup de choses, mais parfois, ça te dépasse un peu. En fait, ton problème fondamental c'est que tu réfléchis beaucoup trop, résultat, tu sautes de sujet en sujet, tu t'éparpilles et c'est fini pour toi. Toi, t'es un peu le genre de mec qui va dire oui à trois soirées... le même jour. Et après, tu sais plus comment te dépatouiller pour choisir celle où tu iras et décommander les autres. T'es une véritable catastrophe de ce côté là.

prénom ou pseudo : la petite sirène. comment tu as connu le forum : on dit merci qui ? -non pas Jacquie et Michel- Merci bazzart! ton smiley préféré :    pays de résidence: la France. inventé, pré-lien ou scénario : scénario de Loulou    dernier mot pour la fin :    

Spoiler:

Ah Mykonos. A croire que tu voulais faire honneur à tes origines. Alors que tes parents étaient en vacances chez tes grands parents paternels, c'est au beau milieu d'une soirée familiale que tu as décidé de venir les saluer. Un mois et demi avant le terme. Un petit prématuré. Un trois décembre, une vingtaine de jour avant Noël. Tes parents ont d'ailleurs prolongé leurs vacances à Mykonos pour justement profiter de ta venue entourés de toute la petite famille. Ainsi, les premiers jours de ta vie furent sans doute les plus beaux. Auprès de ton grand père paternel Nikolaos dont tu as hérité du deuxième prénom que tu portes avec une telle fierté. Tu as eu raison de profiter de tes premiers jours de vie sur terre, et d'autant plus sur cette île, car les années qui suivirent furent bien compliquées à gérer et surtout à accepter. Officiellement, vous êtes deux enfants, toi, et ta petite soeur, dont tu es très proche. Officieusement, vous auriez dû être trois. Quelques années après ta venue au monde, ta mère tomba enceinte d'un petit garçon, alors que tu avais cinq ans et demi. Neuf beaux mois. Où tu étais aux petits soins de ta mère. Tu faisais tout pour elle. Tu lui apportais le petit déjeuner au lit. Tu t'amusais même à lui étaler la crème sur son ventre pour éviter les vergetures. Tu parlais souvent à ton petit frère, et quand il venait à bouger dans le ventre de ta mère, tu restais persuadé qu'il te répondait. Voilà que l'accouchement eut lieu. Malheureusement pas de pleurs, rien, silence radio, tes parents ont eu peur, les médecins aussi. Après quelques longues minutes qui représentèrent l'éternité, quelques légers pleurs, mais voilà que ton petit frère avait des problèmes au coeur. Et malheureusement, quelques jours après il vous quitta, laissant une grande tristesse planer au dessus de vos têtes à tous. Tu étais petit, mais tu t'en souviens encore. Et tu as promis à ton petit frère que tu profiterais de la vie pour lui. Parce que lui, c'est ce qu'il aurait aimé faire s'il avait eu ta chance. Les années passèrent, la peine s'estompa, mais personne n'oublia ce drame. Et puis, il y eu comme un miracle. Alors qu'elle n'était pas attendue, voilà que ta mère tomba enceinte d'une petite fille, huit ans plus tard. Te voilà officiellement grand frère. C'est la petite princesse, elle est dorlotée de tous. Toi, t'es devenu quelqu'un de très protecteur. Ta petite soeur, on y touche pas. Tu y prends soin comme la prunelle de tes yeux. Vous avez toujours été proches tous les deux. Et vous l'êtes encore aujourd'hui. D'autant plus depuis que votre mère a été victime d'un homicide volontaire. En effet, suite à tes problèmes familiaux, alors que vous étiez jeunes, ta mère a hérité de la maison de sa mère, et donc par conséquent de ta grand-mère. Mais voilà qu'il y a toujours eu cette rancoeur qui planait au dessus de la tête de ta mère. Cette rancoeur, elle venait de la femme de ton oncle. Soit la femme du frère de ta mère. Elle n'a jamais accepté que ce soit ta mère qui hérite de cette maison, car ta mère n'a jamais vraiment apprécié cette personne. Elle s'est toujours dit que si cette femme était avec son frère, c'était uniquement pour son argent. Car on ne va pas se mentir, du côté de ta mère, comme de ton père finalement, les deux familles étaient plutôt aisées. Ainsi, quand vous avez apprit que ta mère s'était faite renverser, ni une ni deux, tu n'as jamais voulu croire que c'était un homicide involontaire, surtout quand on sait que la personne qui a percuté ta mère a prit la fuite. De plus, tu es criminologue de métier. Ainsi, les homicides volontaires, les crimes et compagnie ça te connait. Et ça, tu as toujours été persuadé que quelque chose ne tournait pas rond dans cette histoire. Tout d'abord, tu as voulu foncer dans le tas. Puis heureusement qu'elle était là ta soeur pour canaliser tes envies meurtrières, et ton impulsivité légendaire. Elle est surement la seule et unique personne sur cette Terre a être capable de te canaliser et de te calmer aussi bien. C'est alors ensembles que vous vous êtes lancés dans les recherches. Ton oncle et sa femme vivaient en France. Du jour au lendemain, vous avez donc quitté Nothing Hill, sans rien dire à personne, sans donner de nouvelles, et vous êtes allés rendre justice vous-mêmes. Enfin. Tu as malheureusement du sang sur les mains. Car après avoir fait de longues recherches, pendant plusieurs mois, vous avez fini par trouver le coupable. Il était en France lui aussi. Ils étaient plusieurs, mais vous êtes parvenus à savoir qui était le coupable, celui qui était au volant de la voiture. Et lorsque tu t'es rendu à son domicile, tu n'as pu te contenir, et dans la bagarre tu l'as tué. Disons qu'en le bousculant, il a trébuché sur des chaussures, et s'est tapé le crâne contre la table en verre, et c'est ainsi qu'il est mort. Techniquement, tu n'as pas tapé le premier. Toi, tu voulais juste qu'il se rende, puis il t'as cherché, et t'as mis un coup en premier, ta soeur n'a malheureusement pas réussi à te contenir ce jour là, et dans la bagarre, il a perdu la vie. Personne n'est au courant de tout ça. Toutefois, tu as réussi à prouver que c'était bel et bien la femme de ton oncle qui a tout monté de A à Z pour essayer de tuer ta mère, et désormais cette dernière a été inculpée et se retrouve derrière les barreaux. Ton oncle est quant à lui, dévasté. Ton père lui, est également au courant de tout ça. Une histoire familiale qui ne doit être dévoilée sous aucun prétexte. Personne ne doit raconter ce qu'il s'est passé. Les seules personnes au courant son ta soeur, ton père et toi-même. Surtout quand on connaît ton métier, et que ta soeur comme ton père, et tout comme toi, vous savez que tu risques gros. Même si en soit, tu ne l'as pas volontaire tué, un homicide involontaire reste un crime malgré tout. Il y a d'ailleurs quelque temps de ça, vous êtes revenus à Nothing Hill. Pour soutenir ton père, qui se retrouve aux côtés d'une femme qui ne se souvient plus de son existence, ni même de la vôtre. Car oui, dans l'accident, après avoir été dans le coma pendant plusieurs mois, à son réveil, ta mère ne se souvenait plus de rien. Anéantie, voilà le mot qui représente le plus votre famille. Mais, malgré ça, quand on te voit, on est loin de s'imaginer tout ce que tu as pu vivre dans ta vie. Sans compter l'AVC que ta mère a eu quand tu avais dix huit ans, où elle s'en est sortie indemne par on ne sait quel miracle.
Bien que tu sois de nouveau ici, tu te sens quelque peu honteux, car quand tu es parti, tu as laissé derrière toi des personnes qui comptaient pour toi. Notamment ton meilleur ami, et sa soeur. Qui n'ont surement jamais comprit pourquoi tu n'as jamais prit le temps de leur répondre, ni-même pourquoi tu es parti. Tu te retrouves à suivre, si on peut dire ça Louise. Cette fille que tu n'as jamais vraiment oublié, que tu as été obligé de laisser sans aucunes nouvelles. Tu es rongé par la culpabilité, mais tu n'as pas eu le choix, car la famille a toujours été plus importante, et si tu devais le refaire tu le referais, parce qu'on ne touche pas à ta famille.