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stop making drama, you're not shakespeare (shadow)

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Mike Shadow
Mike Shadow
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date d'arrivée : 13/07/2020
pseudo : lou/wolfy
avatar : jake gyllenhaal
crédits : mars (vava) // astra (signa)

age : trente-six poussières de vie dont une décennie d’anéantie.
métier : trainer dans les pattes de la police, organiser des soirées atypiques et jouer les mentalistes. situation amoureuse : fou de sucrerires, de fruits, de pizzas. amoureux de tant de choses, mais pas des coeurs : il en a peur.

If it’s darkness we’re having,
let it be extravagant.

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MessageSujet: stop making drama, you're not shakespeare (shadow) stop making drama, you're not shakespeare (shadow) EmptyDim 8 Nov - 20:08

Michael Shadowmadman in a cage
nom : Shadow
prénom : Mike
âge : 36 ans
orientation : Hétérosexuel
statut : Divorcé & Célibataire
groupe : I knew you were trouble
métier : Clown professionnel
Shadow. Comme cette sombre affaire. Cette erreur judiciaire qui ébranle les croyances de l'existence d'une Justice authentique. Aussi loin qu'il s'en souvienne, Shadow n'a toujours été que Shadow aux yeux du monde. Une ombre qui ne tient pas si bien son rôle, il faut croire. Shadow, Shade ou Mike, ils sont très peu à l'appeler Michael, tout simplement parce qu'il ne se présente jamais en tant que Michael Shadow, mais "Shadow, juste Shadow". Il ignore bien où exactement, mais il est né quelque part en France, une nuit d'automne, le 17 Novembre 1984, ce qui lui fait trente-six années, bientôt trente-sept, d'écoulées, bien qu'il parait en arborer à peine cinq parfois -tout le temps-, mentalement. Très aisé depuis sa libération. Il croule sous l'or et en profite pour faire tout et n'importe quoi, pour s'amuser et vivre, ou essayer. La réalité est moins idyllique. Son boulot consiste à emmerder la police, et à leur venir en aide, aussi, peut-être, ouais... bof. C'est plus marrant de jouer. Nan ?

Histoire :

Orphelinat des Petits Princes, Bretagne, France.

Thé mandarine, jasmin d'été, vanille étoilée, camélia blanc, cèdre sauvage, whisky tourbé, caramel tendre, herbe fraîche, feu de bois... Des odeurs se mêlent et s’emmêlent dans le cœur, dans les yeux. L'évasion s’épeule et s'appelle près des doutes, près des peines. Des effluves subtiles, douces ou violentes et passagères d'un instant, de longs moments, cueillis dans l’Étonnant du temps.

Le petit Mike, assis en tailleur au beau milieu des cuisines, était perdu dans la contemplation troublante d'un tableau qu'il n'avait jamais vu auparavant. Cela devait bien faire une heure qu'il était là, les yeux fermés et la bouche entrouverte, mais la fatigue ne semblait pas le gagner. Les deux beaux oiseaux peints sur l’œuvre étaient sa seule préoccupation. Jolis, très colorés; ils volaient, volaient, volaient, et lui, volait à leurs côtés dans un imaginaire magique, joyeux, délicieux. Ça sentait terriblement bon et il ne comprenait pas une seule seconde comment c'était possible. L'odeur ne venait pas des fourneaux, il était tard et de toute façon, jamais rien ne sentait si bon dans les cuisines. Les odeurs étaient particulières, certaines étaient nouvelles pour lui et les mélanges commençaient petit à petit à lui donner le tournis. Mais, pour la première fois de sa vie, Michael se sentait presque chez lui.

Il était tout juste minuit lorsque sonna le glas du silence.

Et ces effluves entêtantes, ces effluves s'évaporèrent à la seconde même où les bottes de Salazar claquèrent contre le carrelage. Aussitôt, le garçon se releva. Le cœur battant, les yeux écarquillés, il s’apprêtait à se faufiler sous l'une des tables de bois, non loin des plaques chauffantes, lorsqu'une main puissante l'attrapa par le col pour le soulever au dessus du sol. « Tiens, tiens, on peut savoir ce que tu es venu voler, ptit con ? Encore en train de roder après le couvre feu. Tu sais que tu vas encore être puni pour ça ? » susurra le vieil homme de sa voix sombre, avant de resserrer davantage sa prise. « Je... suis pas un voleur ! Lâchez moi ! » Mike se débattait avec hargne, mais c'était peine perdue. Il était de notoriété publique que les gardiens étaient tous bien bâtis à l'Orphelinat des Petits Princes et Salazar tout particulièrement. C'était nécessaire, d'après eux. Injuste, terrible, mais personne n'était au courant des horreurs qu'ils vivaient tous ici bas. Ici, ce n'était pas comme dans les autres Orphelinats où Mike avait été auparavant. Ici, il n'y avait que les cas particuliers. Les enfants dits "à problème", ceux dont personne ne voulait, ceux qu'ils (les adultes) se devaient de corriger. Lui, était un évadé récidiviste avec de mauvaises influences sur les autres enfants plus naïfs. Il avait fui, plusieurs fois, lorsqu'il était à Paris, puis en banlieue dans une ville dont il ne se souvenait plus même du nom... Et il avait fini par atterrir ici. Ce n'était que la suite logique, mais rien n'avait changé. Ce n'était pas des sévices physiques et morales qui allaient interférer avec son besoin vital de liberté. C'était si cher demandé ? Qu'on le laisse respirer ? Quand on était petit, oui, enfin, apparemment... « C'est pas étonnant qu'aucun de tes putains de parents n'ait voulu te garder, un voleur doublé d'un menteur, ça fait pas un beau filston, tu crois pas ? » Les mots étaient mauvais, mais pas autant que les maux. « Et un malaimé doublé d'un gros con, ça fait quoi exactement ? » rétorqua avec insolence le gamin, du tac au tac. Il évita de justesse le mur lorsque Salazar le traina vers la sortie sans ménage. Cette colère, cette souffrance, ce manque; forgeaient la cage de l'oiseau et pour s'en affranchir, il lui faudrait se montrer fort. Pour s'en affranchir, il lui faudrait s'envoler, fuir, devenir ce bel oiseau coloré. Courir après le Temps, la quête de toute une vie... Et elle ne faisait que commencer.

You taught me the kindness of laughs before you left.

Maison de Fleur, Bretagne, France.


Mike n'avait jamais été de ces enfants perdus mélancoliques qui se demandaient à chaque seconde de leur vie ce qu'ils avaient bien pu faire de mal pour que personne ne veuille d'eux. Bien sûr, c'était triste. Bien sûr, il aurait aimé avoir une famille, lui aussi. Bien sûr, mais il ne pleurait jamais. Bien sûr, mais il ne cherchait pas à comprendre, à se torturer l'esprit pour rien. Si sa famille ne l'avait pas choisi, il ne voyait pas pourquoi une autre avait le droit de le choisir à sa place. Et lui, dans tout ça ? Ne pouvait-il pas avoir le choix ? Il voulait celui de l'émancipation, mais il était bien trop jeune pour ça... Ces adultes étaient bien trop compliqués pour ça.

Et puis, un beau jour, il changea d'avis. Comme le disait si bien ce proverbe français "Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis." C'était une grand mère qui avait bien voulu de lui. Madame Fleur. Jamais il n'avait rencontré une aussi gentille personne de toute sa vie. Et pourtant diable qu'il eut tenté toutes les pires saloperies pour la "tester" à ses débuts, faisant régner le chaos dans sa petite maison bretonne. Mais rien n'y faisait, elle restait de marbre, ce même sourire bienveillant aux lèvres. Il avait alors rapidement abandonné toute envie de jouer avec ses nerfs, comme il avait l'habitude de le faire à l'Orphelinat. C'était clairement inutile... Après tout, à y réfléchir, il fallait bien qu'il se fasse à l'idée qu'il n'y retournerait plus, et cela devait être plutôt réjouissant, en soit... C'était plaisant, évidemment, mais ce changement brutal ébranlait les barrières qu'il avait érigé pour se protéger et il ne savait tout simplement pas comment se comporter comme un garçon de son âge. Vivre en son plus bel état. Simplement. Se laisser aller. Mais qu'est-ce que c'était que ça ?

Non, Michael n'avait pas tenu très longtemps en tant que petit monstre attitré de la vieille dame, pas face à ses yeux pleins de malices et de sympathie, pas face à ses innombrables histoires folles pleines d’embûches et de sottises. Elle avait ce trait particulier qui faisait tout son charme et l'avait bien vite découragé dans ses élans rebelles. L'humour. Elle était drôle, gamine, peut-être même plus qu'il ne l'était lui même. Et ces rires, les siens, les leurs, surpassaient toutes les horreurs du monde. Il riait. Peut-être même qu'il vivait. Les années passèrent et plus drastiquement qu'il n'aurait jamais pu l'imaginer, elle devint une figure indispensable à sa vie. Fleur, mais également Joker, l'étalon selle français qui était aussi fou que sa maîtresse, son plus fidèle compagnon de bêtises et de liberté.

La vieille horloge murale indiquait trois heures de l'après-midi quand le coucou se mit à chanter dans le salon. Depuis sa chambre, Mike faisait des tractions. Voilà des mois qu'il s’entraînait. Bientôt, il intégrerait l'armée de terre française et il se devait d'être au top de sa forme. Il n'avait jamais tellement rêvé d'un tel métier, mais il s'était avéré que l'école, ce n'était pas fait pour lui et que rien ne lui plaisait. Alors il avait choisi la facilité... ou presque. L'engagement. En plein effort, il entendit vaguement la voix de Fleur depuis le jardin : « Mikey ? Va nourrir les poules s'il te plait, je dois aller faire des courses au village. » Seulement, c'était impossible. Pas maintenant du moins. Il lui fallait terminer sa session d'entrainement avant. Il ne pouvait pas s'arrêter en plein milieu. « Je peux pas tout de suite, mais j'le fais après, promis. » qu'il lui hurla en retour par la fenêtre afin qu'elle l'entende. Les minutes s'écoulèrent et il termina enfin. Il courut dans les escaliers afin d'aller boire un grand verre d'eau à la cuisine puis prit la porte en direction du poulailler.

Le paysage se décolora tout à coup et les odeurs, les odeurs vinrent le hanter par millier, jusqu'à l'en faire suffoquer. Pneu brûlé, friandise écœurante, essence entêtante, et puis l'odeur de la douleur, la pire, la plus atroce des odeurs. La plus affreuse des couleurs : rouge sang.

Ne voyant pas Mike arriver, Fleur avait décidé de s'occuper elle même de nourrir les poules, et pour ce faire, il fallait monter chercher la nourriture dans une cabane qu'il n'était possible d'atteindre que par le biais d'une échelle fixée à un muret. Cette dernière avait cédée et Fleur avait chuté. Cette dernière s'était brisée et Fleur avait fanée. Par sa faute. Tout était de sa faute. Il était celui qui aurait dû tomber.

Il aurait dû mourir ce jour là.

Ce fut un revers de médaille plus que brutal de la fatalité du Destin. Un repos passager, l'un de ceux que l'on s'octroyait sans ne jamais vraiment le mériter. Un bonheur pour lequel il n'avait jamais signé mais auquel il s'était terriblement attaché. Ce jour là marqua son retour à la case départ. Dans sa cage, l'oiseau revenait toujours. Il avait tout perdu. Il se sentait si bête d'avoir pu un seul instant y croire.

Il s'engagea comme il était prévu, puis fuît le pays de cauchemar à la première occasion.

Can you heal my broken wings ? I wanna fly far away with you, fly, fly, fly.

Poste de Police, Dorchester, Angleterre.

Ces années passées sur le terrain ne furent pas ses plus reposantes, mais elles l'aidèrent à ériger ses nouvelles barrières et le poussèrent à prendre enfin une décision vitale à son avenir. Michael était fort, maintenant, plus fort que jamais et il était temps de se relever, de reprendre son envol. D'un coup de tête aussi puissant que violent; il quitta alors l'Armée de terre, la France, les compagnons qu'il s'était fait avec le temps, toutes ses peines et toutes ses joies, sans ne jamais regarder en arrière. Un simple sac sur l'épaule, une cigarette pincée entre les lèvres, quelques soupirs d’antan et un allé simple pour Londres. Il gravita quelques jours seulement dans la capitale et tomba bien vite amoureux des anglais. Pourtant, il n'y trouva pas sa place. Non, il lui fallait une contrée où règnerait le paisible de la Nature, un ailleurs un peu pommé que personne ne savait trop comment aimer, un quelque part bien plus relaxant que la folie du melting pot anglais, un endroit où réfléchir, où se reposer, enfin.

C'est la douceur de Dorchester qui imposa sa splendeur dans son cœur. Un village où il fit la rencontre de gens merveilleux. Mais aussi un lieu où il trouva sa voie, notamment grâce à son voisin, Mister Leaf, un flic retraité absolument renversant qui lui conta toutes ses enquêtes du plus profond de son être. Depuis tout ce temps, il avait cru n'être bon à rien de particulier, ne faire que copier, tricher et virevolter entre les lignes de la vie. Mais le chemin lui semblait si évident à emprunter maintenant qu'il y réfléchissait. Petit malin assez mesquin, il pouvait changer la donne devenu grand, renverser les défauts pour les transformer en qualités, en atouts évident pour la société, pour lui même, se trouver enfin un but dans la vie et une véritable identité. C'est également au village qu'il fit la rencontre de la femme qui deviendrait bien vite celle de sa vie. Les premières impressions n'avaient pourtant donné aucun indice là-dessus. Non, vraiment aucun...

New york, you were meant to be my great everything but you ended up being my worst anything.

Police Judiciaire New-yorkaise, New York, États-Unis.

Tout était allé si vite. Le mariage, le chien, la maison, il manquait plus que les gosses, mais Mike restait complètement fermé à l'idée; il n'était pas prêt. Il s'était laissé guidé par l'amour, par les absurdités irrésistibles de son américaine, et rien ni personne n'avait pu le raisonner. Sa belle Hayley était parvenue à le faire quitter son havre de paix, son tendre village confortable, pour vivre à ses côtés une existence de folie à la Grosse Pomme. Un exploit.

L'amour donne des ailes, dit-on, mais l'oiseau n'en avait-il pas déjà ?

Comme une évidence, il rejoignit la police judiciaire new-yorkaise où il se creusa aisément une place de choix. Il bossait seul, au début, et le patron l'aimait bien ; il était putain de doué, le franco-anglais. Ce n'était pas spécialement le cas de ses collègues qui restaient sur leurs gardes à son sujet, mais cela n'avait que très peu d'importance... du moins à l'époque. Au fil des années, les ricains (dont ses collègues) devinrent de très bons amis au même titre que les anglais de Dorchester, et il s'intégra réellement à l'équipe. Il demeurait ce flic un peu trop fougueux et intenable, mais les sourires étaient moins timides, mais les rires étaient plus bruyants.

Maison de Hayley & Mike, New York, États-Unis.

La nouvelle avait dévasté. Comment avait-il pu encore, après toutes ces épreuves, s'être montré aussi naïf ? La nouvelle avait foudroyé. Il était pourtant évident qu'il n'était rien d'un sauveur, et que la seule manière de sauver les gens lorsque l'on n'était pas un héro, restait encore de les quitter. Pourquoi ne s'était-il pas envolé avant ? Fleur, Joker et maintenant Jacob Stewart et les siens. Il se haïssait pour ça, pour avoir existé dans leurs vies, coupable malgré lui, et il haïssait cet homme ou cette femme qu'il se promit de retrouver et de guider de force devant les tribunaux. La nouvelle avait poignardé. Et il rentrait, maintenant. Les larmes avaient séché depuis une bonne heure, mais pas les maux. Mais il rentrait chez lui, maintenant... La nouvelle avait brûlé. Oh, il n'avait pas de chez lui, il n'en avait jamais vraiment eu. Oh, il ne savait plus. « Michael ?! » La voix de sa femme résonna depuis le salon. Max ne vint pas lui faire la fête comme d’habitude. Le silence s'installa. Trempé de la tête aux pieds, la chevelure lui dégoulinant sur le visage, Mike faisait pitié. Il traîna sa carcasse dans le couloir pour la rejoindre dans l'intention de la prendre dans ses bras et lui laisser panser toutes ses peines, comme elle savait si bien y faire. Il l'aimait si fort, sa femme. Il n'avait plus qu'elle. Contre toute attente, ce ne fut pas de la peine, ni de la compassion qu'il lut dans ses deux grands yeux ambrés. Il y avait ce quelque chose en plus, ce petit truc qui ne lui ressemblait pas, ce petit quelque chose qu'il ne lui connaissait pas. De la méfiance... de la froideur... de la peur ? Il se stoppa net à l'entrée de la pièce, s'appuyant, épuisé, tout contre la porte. Elle, se tenait droite, les bras croisés contre sa poitrine, la silhouette tournée en direction de l'écran de télévision. Complètement perdu face à ce regard inconnu que continuait de lui porter Hayley, Mike tenta de se rassurer en entamant une rapide analyse de ses micro-expressions, de son comportement, de .... c'était peine perdue. Il n'était pas au boulot. Et, bientôt, elle parla pour lui. « C'est vrai, ce qu'ils disent ? Tu les as... » Elle peinait à canaliser cette colère douloureuse qu'il ne savait définir. Et ce regard, son terrible regard lui faisait si mal. « De quoi est-ce que tu parles, ma douce ? » souffla-t-il avec difficulté alors qu'il réduisait tout doucement mais sûrement la distance qui les séparait. Il tenta une approche, tendit sa main vers sa joue de poupée. Il en avait tant besoin. De son soutien, de sa présence. Il avait besoin de sentir sa peau contre la sienne, son cœur contre le sien. Il avait besoin d'elle plus que jamais. « NE ME TOUCHE PAS ! » hurla-t-elle tout à coup en se reculant violemment de quelques pas, comme... dégoûtée ? Il se figea sur place. Elle lui faisait mal. Il ne comprenait pas. « Hayley, s'il te plait, ce n'est pas le moment de se disputer pour des bêtises... J'ai besoin de toi, je viens de perdre mon meilleur ami et.... » la supplia-t-il, à bout. Mais elle semblait si loin désormais et la tête lui tournait. Les couleurs familières, rouge souffre, bleu charbon, pullulèrent à travers les vitraux du salon, dans le jardin. Elles venaient se refléter étrangement dans le regard assombrit de son épouse. Les sirènes devinrent assourdissantes et les hurlements, ceux de ses collègues, ne ressemblaient en rien à ce qu'il leur connaissait.

Que se passait-il exactement ?

Mike avait lâché prise. Mike avait abandonné. Mike avait perdu toute foi en l'humanité. La sienne, principalement. Il avait trop donné. Il n'y avait plus rien à faire. Il se fit pousser dehors, les poignets emprisonnés, et les seuls mots chuchotés qui revinrent le hanter furent ceux de sa femme : « Tu es un monstre, Michael Shadow. »


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MessageSujet: Re: stop making drama, you're not shakespeare (shadow) stop making drama, you're not shakespeare (shadow) EmptyDim 8 Nov - 20:09

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MessageSujet: Re: stop making drama, you're not shakespeare (shadow) stop making drama, you're not shakespeare (shadow) EmptyDim 8 Nov - 22:12

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MessageSujet: Re: stop making drama, you're not shakespeare (shadow) stop making drama, you're not shakespeare (shadow) EmptyJeu 19 Nov - 18:26

je n'ai absolument aucune idée de lien mais bon sang... on parle de gyllenhall ! j'ai un crush sur lui depuis prince of persia stop making drama, you're not shakespeare (shadow) 2275965557 stop making drama, you're not shakespeare (shadow) 2081389022 donc je veux bien un lien stop making drama, you're not shakespeare (shadow) 2313478637
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